L’histoire de ce jeune
canadien, serait l’histoire d’une success story assez particulière. Mike Rosehart, c’est son nom, réussissait à
acquérir son indépendance tout en travaillant et en épargnant. Et cela en
seulement sept années d’activités. Aujourd’hui âgé de 27 ans, et depuis
longtemps retraité, le jeune entrepreneur animait sur la toile des séances de mental
coaching et faisait la promotion de son propre modèle économique, le FIRE.
Un contre modèle économique ?
Bien des exégètes de la finance moderne
ou traditionnelle, s’accordaient tous à dire que pour être riche, il fallait
accepter de prendre des risques. Ce risque pouvait soit se matérialiser en
l’investissement matériel et financier dans une idée en laquelle on croyait,
attendant patiemment que la chance soit au rendez-vous ; soit en investissant
dans l’idée d’une autre personne, en espérant qu’elle ait raison. Mais
selon, Mike Rosehart, il y aurait une autre solution où la notion
de risque était sinon subsidiaire, du moins réduite à sa plus simple
expression. Son secret, le FIRE, pour ‘’Financial Independence and Retire Early’’ ou “Indépendance
financière pour une retraite anticipée”.
Pour ce jeune canadien qui acquérait sa
première propriété à l’âge de 20 ans (en 2012), alors qu’il était encore
étudiant boursier en finance d’entreprise à l’université, et agrandissait
quatre ans plus tard, en 2016, son portefeuille immobilier à 15
propriétés, et décidait de prendre sa retraite la même année avec un capital en
banque de 700.000 euros ; la solution serait de « dépenser moins,
gagner plus et maximiser les rendements ».
La particularité du parcours de Mike ,
serait qu’il était semblable à celui de n’importe quel travailleur. Car Mike et
son épouse travaillaient, lui en tant qu’analyste en informatique et elle en
tant que graphiste. Ainsi donc, pour avoir de quoi investir sans
s’endetter, Mike Rosehart et son épouse avaient choisi
d’épargner. Mais une épargne agressive, de celle qui minimisait au strict
minimum les dépenses pour pouvoir récupérer chaque centime et les mettre de
côté.
Le capital obtenu avait tout de suite
été réinvesti dans l’immobilier et alors même que de l’argent commençait à
rentrer grâce à différents loyers perçus, le couple n’avait pas dévié de leur
objectif et avait continué à épargner jusqu’à ce qu’ils aient suffisamment pour
ne plus avoir à travailler. Et seulement sept années avaient suffi.
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